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BORA Magazine 01|2020 – French

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EXPÉRIENCE PORTRAIT «

EXPÉRIENCE PORTRAIT « La nature donne tout ce dont l’homme a besoin. Le corps se nourrit en fonction des saisons. » STANLEY TUCCI ses enfants (trois films en projet en ce moment même), c’est lui qui se tient derrière les fourneaux lorsqu’il revient à Londres, où il vit avec sa famille : « C’est toujours moi qui cuisine. » Cette passion pour la cuisine italienne l’a conduit à la création, avec sa femme, d’un livre de recettes. Un best-seller intitulé « The Tucci Table », dont le sous-titre indique sans détour ce dont il s’agit : cuisiner avec famille et amis. Cuisine, amis, plaisir : autant de choses que le vrai gourmet ne peut dissocier. En l’occurrence cela s’est parfois même avéré compatible avec son métier : pour le film « Julie et Julia » à propos de l’icône de télévision culinaire américaine des années 60, il fait un stage dans un restaurant new-yorkais, où il apprend la cuisine professionnelle et prépare des plats de routine. Frittata, risotto, gnocchi... Avec l’actrice principale, Meryl Streep, dont il joue le mari devant la caméra, ils se sont aussi rencontrés avant le tournage pour cuisiner ensemble. Au menu ? « Je m’en souviens très bien : c’était une recette de Julia Child. Une blanquette de veau. C’était vraiment bon ! » Un plat bien entendu partagé avec une table tout entière de leurs amis. Et qui est le meilleur cuisinier : Meryl Streep ou lui ? La réponse ne tarde pas. « Moi, sans problème ! » s’amuse-t-il. Pas étonnant que ce passionné de cuisine ait chez lui une grande cuisine à deux postes. Depuis quelques années s’y trouve même une table de cuisson BORA Professional équipée d’un teppanyaki. « Nous avons une grande cuisine ouverte. C’est le lieu où la famille se retrouve pour manger. Un système comme celui-ci semble avoir été créé pour nous. Je ne voulais pas de hotte qui gêne la vue et les discussions. Quand j’ai vu l’appareil BORA pour la première fois dans un showroom à Londres, je n’en ai pas cru mes yeux. C’était exactement ça qu’il me fallait ! » Avec sa famille, l’acteur prépare avec passion ses repas sur sa cuisine en îlot : « Cuisiner me permet aussi 68 MAGAZINE BORA

À gauche : Dans « Le diable s’habille en Prada », Stanley Tucci incarne un sympathique directeur artistique. Dans la « vraie vie » non plus, Tucci ne se départ pas de son pragmatisme. Ci-dessous : Cuisinier passionné, la star d’Hollywood consomme les épices italiennes sans modération. Le système BORA qu’il préfère est le modèle Professional 2.0. Photographie : Picture Alliance/Mary Evans Picture Library, Instagram/stanleytucci de passer avec mes enfants. » Sur le teppanyaki BORA, les steaks ne grésillent pas seuls. Ils sont souvent accompagnés de légumes : oignons, aubergines, courgettes. « On peut y cuisiner rapidement toutes sortes de plats et le système est facile à nettoyer. C’est un appareil fantastique. J’en suis vraiment fan. » Cuisinier passionné, il n’est pas seulement attaché au design, mais aussi aux tables de cuisson extra-larges : « Avec ça, je peux travailler dans de grands récipients. » Il lui arrive aussi parfois de s’emparer du livre de recettes BORA 5 | 5 pour préparer des recettes saines et rapides : « C’est vraiment bon. » Tucci attache une importance particulière à une alimentation équilibrée et à la provenance des produits : les produits locaux sont aussi importants pour lui que les aliments saisonniers. « La nature donne tout ce dont l’homme a besoin. Le corps se nourrit en fonction des saisons. Il te dit ce que tu dois manger. Ce mode d’alimentation offre sans doute le mode de vie le plus sain. » Et il va de pair avec le retour à une vie plus « simple » : « Autrefois, on se nourrissait tous en fonction des saisons, jusqu’à ce que quelqu’un dise : ‘Je peux livrer des fraises 365 jours par an en m’approvisionnant partout sur la planète.’ Mais ça n’a pas de sens d’avoir tout à disposition en permanence. » Pour l’acteur issu du pluriculturalisme, il ne s’agit pas nécessairement de restreindre son alimentation : « Ma femme, britannique, est un vrai cordon bleu. Nous mangeons aussi de tout ce qui se fait dans sa famille. Les saucisses, par exemple. Et bien sûr le curry, ingrédient tellement apprécié dans la capitale multiculturelle qu’est Londres. » Après cette interview d’un vendredi soir, Stanley Tucci rejoint directement sa cuisine. On lui a offert un homard et il réfléchit à son utilisation : « On pourra peut-être le manger avec un risotto, en « lobster rolls », ou avec des pâtes. » Ce qui ne fait aucun doute, c’est que sa table sera une fois de plus bien remplie de famille et d’amis. La « table Tucci ». Suivez Stanley sur Instagram: stanleytucci MAGAZINE BORA 69

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